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 Aventures d'aventuriers, livre II.

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Sada-nunu

Sada-nunu


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MessageSujet: Aventures d'aventuriers, livre II.   Aventures d'aventuriers, livre II. EmptyMer 6 Oct - 7:27

Aventures d’aventuriers
Livre II



Prologue : Sombres projets


Le monde des douzes.
Immense continent bordé par de nombreuses îles.
D’ailleurs, pourquoi ces îles ne seraient pas aussi des continents ? Juste plus petits. Surement car l’étendue de terre que nous bennons de nommer continent (ou continent principal si l’on observe la thèse de continents multiples) est le plus peuplés, est le lieu d’origine de l’espèce dominante.
Ames itinérantes durant leurs jeunes années, elles se séparent ensuite en classes, vouées chacune au culte d’un dieu. Douze dieux, douze classes, c’est de là que provient le nom de notre monde, qu’après tout nous lui avons attribué. Quel aurait été son nom si il l’avait lui même choisit ?
Les dieux dirigent le monde depuis le plan divin, une dimension parallèle, un endroit haut dans les cieux ? Nous n’en savons pas grand chose. Sont-ils les seuls à y vivre ?
Nous abordions au début la géographie du monde, mais peu être y a-t-il d’autres continents pas delà le vaste océan. Sont-ils habités ? Les éventuels habitant de ces éventuels continents vénèrent-ils nos dieux, d’autres dieux, aucuns dieux ? Après tout, ce monde est bien peuplé de monstres, certains parlent une langue, tels les lenalds, les wabbit ou même les bworks et les gobelins. Ces créatures vénèrent-elles des dieux ? Suffit-il qu’un dieux soit adoré de suffisamment d’êtres vivants pour qu’il se mette à exister ?
Voilà donc de quoi décrire se monde et s’y intéresser en profondeur.
Ses contrées, avec ses cités telles qu’Amakna, Bonta, Brâkmar ou même la bourgade de Frigost.
Ses montages, notamment celles des craqueleurs et de cania, ses forêts dont celles de Pandala et des Abraknydes.
Et enfin, ses vastes plaines, des scarafeuilles, ou les immenses plaines de cania.
C’est au centre de ces plaines que se tient le massif de Cania.
Perdue dans cette immensité de roches inexplorées, se tenait une grotte. Assez vaste, mais surtout, aménagée.
Cette étrange cavité tenait lieu de repaire, cachette éloignée de tout, introuvable.

Debout, dans ce qui tenait lieu de pièce principale, un Iop souriait.
Il paraissait las, fatigué, son regard était triste, mais aussi dépourvu de tout.
Néanmoins, ses lèvres dormaient un rictus qui lui tenait lieu de sourire. Un rictus froid, glacial.
Après 5 longues années de préparations, le plan de Juninho-hn était enfin prêt et sur le point de s’accomplir.
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Sada-nunu

Sada-nunu


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MessageSujet: Re: Aventures d'aventuriers, livre II.   Aventures d'aventuriers, livre II. EmptyMar 7 Déc - 6:31

Après une longue absent, mes écrits sont de retours sur l'étagère.
Une soirée bien fournie en chapitres pour fêter ça.


Chapitre 1 : Sada-nunu

Sufokia
Ville sur pilotis, bâtie sur l’océan, à l’extrême Sud d’Amakna. Autrefois, elle avait été un port au commerce florissant, où des dizaines de voyageurs, pécheurs et marchands se côtoyaient chaque semaine. Au fil des siècles, la ville de Bonta était devenu la capitale du commerce, Astrub le lieu de départ des jeunes aventuriers et les voyages en bateau d’effectuaient maintenant au port de Madestram.
Sufokia avait finit par devenir un village, peu peuplé, mois que l’ombre de la cité passée. Le dernier bâtiment officiel était la banque, une piscine avait été construite pour préserver l’art de la pêche, et malgré les année, la taverne était encore sur pied. Il arrivait parfois que quelques touristes viennent visiter mais personne ne venait s’installer.
En fait, le dernier habitant en date s’était installé il y a cinq ans.
Après la séparation du groupe, Sada-nunu, notre ami l’énutrof était venu s’installer à la recherche d’une vie paisible. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle l’était. Il passait ses journées à lire, écrire, méditer et pêcher. Notre ami s’était même fait construire un petit Kanojedo attenant à sa maison pour continuer à s’entrainer. Chaque matin, il prenait un petit déjeuné consistant, il ne mangeait pas à midi et dînait avec le poisson pêché de la journée.
La vie suivait son cours et les jours se ressemblaient.
Mais au bout de cinq ans, il fallait bien que quelque chose arrive, le passé finis toujours par vous rattraper.
Un matin, on toqua à la porte, et en ouvrant il vit un visage inconnu, quelqu’un qui n’habitait pas le village. L’homme était grand, un Crâ. Il pinçait les lèvres et ses yeux verts paraissaient durs et froids. Son arc semblait être en Orme et la pointe de ses flèches en titane. Il portait l’uniforme des gardes d’Amakna. Après une ou deux brèves secondes, il se mit à parler :
« Sada-nunu ?
- Oui ? C’est moi.
- Vous êtes convoqué par sa Majesté le roi Allister. »













Chapitre 2 : Stryuka

Astrub.
La ville neutre, la ville des mercenaires, la ville des débuts, des rencontres. La cité avait été fondée ils y a déjà fort longtemps par Brutas mais elle n’en demeurait pas moins jeune par rapport aux autres. C’est là qu’arrivaient chaque jour les jeunes âmes en provenance de l’île volante, suspendue dans les cieux qu’était Incarnam.
Proche du pont reliant le continent avec l’île de pandala, située non loin du château d’Amakna et bordée à l’ouest par les immenses plaines de Cania, la ville était le carrefour des rencontres d’aventuriers. Plus peuplée qu’Amakna, la ville était elle aussi neutre, se désintéressant de la guerre fratricide entre Bonta et Brâkmar.
C’était le lieu propice à la fondation d’un clan de mercenaires, officialisé par Fallanster, le roi d’Allistaire, qui, officiellement du moins, régnait sur Astrub. La ville possédait de nombreuses infrastructures, dont un hôtel de vente pour chaque objet commerciable et un atelier pour chaque métier existant, exceptée pour les bricoleurs (qui possède néanmoins un hôtel de vente) et pour les forgeurs de boucliers, arts réservés aux cités ennemis et à Pandala. Chaque atelier étant administré par un maitre du métier chargé de former les nouvelles recrues et de veiller au respect du matériel.
L’atelier des sculpteurs était bien sur administré par un disciple de crâ. Plus précisément, une disciple, du nom de Stryuka.
Après ses aventures vécues avec ses compagnons de route, elle s’était tournée vers ce métier jusqu’à en devenir un des plus grand maitre de la profession. Elle aimait sa nouvelle vie et comme chaque matin se rendait à l’atelier pour y donner ses conseils et enseigner le métier.
Stryuka s’arrêta devant la porte. Serrure avait été forcée et des finnes oreilles entendait quelqu’un à l’intérieur. Elle saisit son arc et entra brusquement.
Le Iop qu’elle tenait en joue portait l’uniforme des gardes d’Amakna.
Il sourit, puis dis calmement :
« Maitresse sculpteuse d’arcs Stryuka ?
- C’est bien moi, Qui êtes vous, qu’est-ce que vous voulez ?
- Vous êtes convoquée par Son Altesse sérénissime le roi Allister. »

















Chapitre 3 : Star-Blade

Parmi les nombreuses îles bordant le continent central, l’une d’elles ‘tait consacrée à la jeune déesse Pandawa et ses disciples : l’île de Pandala.
L’île possédait deux ponts à chacunes de ses extrémités. Celui de l’ouest la reliait au continent et d »bouchait sur la ville d’Astrub. Celui de l’Est reliait Pandala à son cimetière, la petite île de grobe où erraient les fantômes de ses monstres morts au combat.
L’île possédait 5 villages, dont la propriété de 4 était revendiquée par les alignés. 4 villages élémentaires qui possédaient chacun une zone frontalière à la biodiversité unique.
Pandala air, le village de l’Ouest, était célèbre pour ses bambous et son arbre millénaire, le bambou sacré. A l’Est, Padala terre était très prisée des alchimistes. Pandala feu, le village du nord, se dressait sur un volcan et était bordé par la lave. Ce climat inhospitalier avait donné naissance au bambou sombre, et son sol riche lui avait offert des mines renfermant de la dolomite, un des minerais les plus prisés. Enfin, Pandala eau le village bâti le long du fleuve était célèbre pour ses rizières.
Au centre se tenait la ville principale de Pandala neutre, avec son hôtel de ventedes boucliers et ses nombreux dojos où était pratiqué le Pandawashuwu, cet art martial ancestral.
L’île était donc pleines de ressources rares, et possédait une biodiversité unique, sa faune et sa flore n’avait nulle autre pareille.
C’était pour lutter contre l’épuisement de ses ressources et la destruction de la biodiversité que Star-Blade, notre cher Sadida s’était installé sur l’île. Et comme tout bon sadida qui se respecte, il dormait quinze heures par jour et était en train d’effectuer sa sieste de digestion quand un homme portant l’uniforme des gardes d’Amakna interrompit son sommeil.
« Star-Blade ?
- Hmmm ?
- Vous êtes convoqué pas le roi Allister.









Chapitre 4 : Pommy

Bonta.
On n’en dira jamais assez sur cette cité, fondée pour s’opposer à Brâkmar. En opposition à la cité démoniaque, Bonta grandit, elle s’illumina, la ville devint une ville de lumière, la ville du commerce. La ville était la plus peuplée du monde des douze, des gens de toutes classes et de toutes origines s’y mêlaient, ainsi que de nombreux touristes où marchands de passage, et bien que la cité fut immense, tout ce monde s’y entassaient, bien que certains quartiers soient plus fréquentés que d’autres. Chaque corps de métier possédait son quartier, où se trouvaient son atelier et son hôtel de vente. Bien sur, Brâkmar possédaient les mêmes infrastructures, car, étrangement, au niveau de l’organisation de celles-ci, les cités étaient sur de nombreux points identiques.
Une différence fondamentale entre l’organisation des deux cités était sa manière d’être dirigée. Là où se trouvait à la tête de Brâkmar un conseil formé de trois personnalités, Bonta elle était dirigée par l’intendant Danathor.
C’est donc dans cette immense cité que Pommy s’était dirigé après la séparation du groupe avec la ferme intention de monter son propre commerce. Elle avait obtenu les fonds nécessaires sen revendant tous les objets acquis au cours de ses aventures, puis avait monté une petit échoppe où elle vendait des pommes sous toutes les formes. Elle importait des pommes de tous les coins du mondes, les croisait, en mettait une spéciale à l’honneur durant une semaine…
Le concept avait intéressé de nombreux bontariens, et elle eut un rapide succès, si bien qu’elle finit par monter sa propre entreprise, possédant plusieurs points de vente à Bonta, et quelques un en préparation à Astrub et à Amakna.
Mais bientôt, d’autres personnes furent intéressées.
Une ville aussi lumineuse et commerçante que Bonta, a forcément une part d’ombre, et le réel pouvoir sur la cité était détenu par une organisation de bandits. Autrefois des commerçants peu scrupuleux bannis d’Astrub, ils formèrent une guilde et s’établissèrent à Bonta sous le nom des Marchombres.
Ils se mirent à exiger un impôt des commerçants de la ville, tuant les plus réticents mais ils agissaient toujours dans l’ombre et les seuls membres qui tombaient entre les mains des gardes ne disaient jamais rien. Les Marchombres finirent par s’approprier les commerces les plus florissants et corrompirent le pouvoir, si bien que plus aucune allusion n’était faite à leur association et qu’on les laissait opérer en paix.
Pommy fut donc approchée par un de leur membre, un bel osamodas, du nom de Babyss, mais les deux tombèrent amoureux, et au mieux de lui réclamer l’impôt, Babyss écouta son cœur et cacha sa véritable identité, sa véritable mission.
Mais on ne reste pas indéfiniment à l’abri des Marchombres, et un autre agent fut envoyé, Pommy se défendit mais il était trop fort.
Ce soir là, lorsque Babyss voulut rendre visite à son amour, il ne trouva personne.
Et ce soir là, dans une cave sombre des bas fonds de Bonta, Pommy était ligotée sur une chaise.






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Sada-nunu

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MessageSujet: Re: Aventures d'aventuriers, livre II.   Aventures d'aventuriers, livre II. EmptyMer 8 Déc - 4:32

Chapitre 5 : Les sous-sols de Bonta.

Babyss était nerveux.
Bien sur, il l’avait été à de nombreux moments de sa vie, la vie de Marchombre ne peut pas vraiment être qualifiée de « tranquille », mais là, il s’apprêtait à faire quelque chose qui allait changer sa vie, qui risquait même de la lui coûter.
En fait, peu être avait-il tout simplement fait ce choix en décidant de ne pas faire de mal à Pommy, en tombant amoureux d’elle, et maintenant il lui fallait justifier cet amour.
Il était donc là, le bel osamodas, son tofu espion sur l’épaule, devant le QG des Marchombres, il connaissait les lieux, et attendait le bon moment pour s’y introduire.
D’après son tofu espion, Pommy était détenue dans une des caves où marinait les « résistants » avant d’être torturés puis tués si trop coriaces.
Bien que Bonta soit animée le jour, la nuit était très silencieuse, noire et vide.
Babyss se mit en mouvement, furtif, rapide, agile et silencieux, il s’introduit dans les bâtiments, passant entre les gardes, évitant de les tuer. Trop de sang avait déjà coulé et coulerait encore.
Puis, l’objectif ! Enfin, plus qu’une porte et il retrouverait la seconde pâtie de son âme, une porte, derrière laquelle tout pouvait arriver.
Il crocheta la serrure, puis poussa délicatement la porte.
Au milieu de la pièce, Pommy, assise sur une chaise, bâillonnée, le visage ensanglanté, à demi éveillé. Babyss pleura et il s’emplit de colère en comprenant qu’elle avait été battue, torturée. Mais il repris vite ses esprits, car quelque chose le troublait… une impression étrange… Il y avait quelqu’un d’autre dans la salle !
Sortant d’un coin sombre, une forme s’avança, sous une épaisse cape, on pouvait apercevoir un visage, fendu d’un sourire narquois.
« Voyons Babyss, je t’aurais cru plus intelligent… l’amour brouille vraiment tes facultés on dirait. Et dire que tu aurais pu me remplacé.
- Bonsoir… j’aurais effectivement pu ne pas m’engouffrer délibérément dans ce piège, cela serait revenu à abandonner Pommy.
- Voyons voyons, soyons un peu raisonnable, qu’est-ce que tu trouve à cette éniripsa, pourquoi renoncer à une vie d’entrainement, une vie de travail pour elle. Tu étais un élève si prometteur. Tu sais, je pense que si tu prononces les bons mots, et fait ce que tu dois faire, tu peux encore t’en tirer et me succéder à la tête de notre association.
- Jamais ! Je ne suis plus un Marchombres ! Je vais sortir avec Pommy et on ne se reverra pas. Du moins j’espère.
- Mais que tu es naïf mon petit.
Et la maitre se prépara au combat, avançant un peu plus, son sourire devenant plus menaçant.
Babyss ne pouvait pas gagner ce combat, il usa d’un des objets rares des Marchombres, créant autour de lui un écran de fumée impénétrable, paradoxalement accompagné d’une lumière aveuglante, lui laissant le temps de fuir, emportant Pommy avec lui.
Pas question de repasser par le même chemin, et il couru de nombreux mètres jusqu’à arriver à un passage étroit, le menant dans les égouts de Bonta. Les rats étaient nombreux, ils pullulaient, et à plusieurs reprises, certains furent assez téméraires pour s’attaquer à l’osamodas mais ils ne posèrent pas de problèmes.
Le jour se levait sur Bonta, et avec lui l’espoir d’un osamodas sortant des égouts.
Babyss se dirigea vers sa maison, une petite habitation inconnue des Marchombres où Pommy pourrait se remettre tranquillement.
Et l’éniripsa s’en remit, traumatisée, fragile, mais saine et sauve.
Après quelques semaines, alors que Babyss rédigeait une lettre pour demander l’aide d’un vieil ami, on frappa à la porte.
Pommy alla ouvrir, et tomba sur un soldat de la garde du château d’Amakna.
« Mademoiselle Pommy ?
- C’est bien moi.
- Vous êtes dure à trouver vous savez ?
- Que voulez-vous ?
- Vous êtes convoquée par le roi Allister. »


Dernière édition par Sada-nunu le Lun 16 Mai - 6:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Aventures d'aventuriers, livre II.   Aventures d'aventuriers, livre II. EmptyVen 10 Déc - 9:32

Chapitre 6 : Réunion au sommet

Le roi se faisait attendre.
Tous attendaient silencieusement son arrivée.
Bien sur, la veille les discussions avaient été nombreuses, le groupe avait fait la connaissance de Babyss, tout le monde s’était rappelé le bon vieux temps et ils avait tous finis à la taverne.
C’est donc avec un certain mal de crâne que nos aventuriers attendaient l’arrivée du roi dans la salle du trône. Puis, celui-ci fit son apparition et pris place sur son trône.
« Veuillez m’excuser, en ce moment les affaires sont assez chargées, c’est pour ça d’ailleurs que je vous ait fait venir.
- Et qu’attendez-vous de nous ?
- Il semble que quelqu’un essai de raviver la haine entre Bonta et Brâkmar. Il se fait appeler « Le Solstice Pourpre », surement pour faire référence à l’Aurore Pourpre. Bien sur les deux villes ne veulent rien entendre, et bien que nos meilleurs diplomates soient sur l’affaire il est évident que la situation ne va pas tarder à dégénérer.
- Mais pourquoi faire appel à nous ?
- Et bien… le problème c’est que si nous envoyons nos propres soldats, dans la situation de paranoïa actuelle, une des deux cités, voire les deux pourrait croire que nous sortons de la neutralité. Nous aimerions donc que vous trouviez « le Solstice Pourpre ». Vous avez déjà arrêté ce genre de personne par le passé.
- Nous devons juste éviter qu’une guerre éclate, c’est ça ?
- Je pense que l’humour est malvenu dans cette situation. Et malheureusement, si nous agissons trop tard, il y a une chance pour que la guerre éclate tout de même. Nos informateurs on repéré le « Solstice Pourpre » près des montagnes de Cania, vous devrez donc vous y rendre.
Sur ce, le roi prit congé, laissant ceux qu’il avait convoqués dans la salle du trône, libres d’accepter la mission ou de repartir. Sada brisa le silence en premier :
- Il faut accepter, la guerre ne doit pas avoir lieu.
Le reste du groupe, heureux de se reformer accepta aussi la mission, et nos aventuriers se rendirent à la taverne pour fêter cela.
La bière coula à flot, les discussions allaient bon train, tout le monde chanta, certains dansèrent, et après quelques heures de fêtes, la plupart des gens étaient remontés dans leurs chambres.
Seuls restaient Star et Sada dans la salle principale qui discutaient tranquillement, ils avaient bu, mais moins que les autres.
- Alors comme ça on a un tous les deux vécus seuls pendant ces 5 longues années, dit Sada, sa dernière chope à la main.
- Et ouais, on va pas dire que la forêt de Pandala soit super peuplée.
- Et je te parle pas de Sufokia.
- Ca te manquais pas un peu toi l’aventure ?
- Je dois dire qu’un peut ouais, c’est pas avec un vieux Poutch Ingball que tu vis les mêmes sensations que dans la forêt maléfique.
Et à ce moment là, nos deux compères ce rappelèrent en détails la scène de la forêt, ce souvenir et celui de la mort de Vénus ne les quitteraient jamais, et leur sourire disparut.
- Bon… il se fait tard, demain on repart à la chasse au timbré alors dors bien.
Et en remontant, une pensée traversa l’esprit de Sada. Qui pouvait bien être ce « Solstice Pourpre » ? Solstice… Sada ce rappelait bien de quelque chose.
Et si…
Non ! Cela ne pouvait pas être possible ! Ca ne pouvait pas être lui !



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MessageSujet: Re: Aventures d'aventuriers, livre II.   Aventures d'aventuriers, livre II. EmptyLun 13 Déc - 7:29

Chapitre 7 : Juninho-hn


Les montagnes de cania.
Vastes régions inexplorées, au centre de la plaine de même nom. Ces montagnes s’étendaient entre Bonta et Brâkmar et étaient le repère des craqueleurs des plaines. Les montagnes se divisaient en fait en trois massifs, le plus grand était le plus près de la mer, aux pieds duquel se trouvait le donjon des blops et les nombreux aventuriers qui s’y trouvaient dans leur quête d’expérience. Ces montagnes n’étaient pas réputées pour leur minerais, mais qui sais, après tout elles étaient inexplorées, et peu être s’y trouvait-il de nombreuses mines, recelant de précieux métaux, où même des monstres inconnus. C’était donc là l’endroit idéal pour se cacher, pour établir un repaire dans l’une des immenses et innombrables grottes, l’endroit idéal pour établir des plan, les superviser. L’endroit idéal pour entretenir sa folie… pour vivre seul et dans le chagrin. Telle était la vie de Juninho-hn, seul, dans les montagnes, il avait établi sont plan durant de longues années, il l’avait mis en place, implanté des espions un peu partout, et il avait envoyé ses sbires semer la panique dans le monde des douzes. Juninho était à la tête d’un empire criminel vastes, cruel, et même si en apparence ce n’était qu’un regroupement criminel comme les autres, dirigé par un esprit dévasté, son but était bien plus que de répandre simplement la terreur. A travers toutes ces actions, un objectif était atteint, actionnant les rouages d’une machine complexe, attisant la flamme de la haine entre Bonta et Brakmâr. Pour ce qui était de la direction des cités, Juninho s’en était occupé personnellement, approchant les hautes sphères des deux jumelles ennemies, il les conseillait secrètement, fourbement, c’était lui qui tirait toutes les ficelles. Les mailles du filet étaient prêtes à se refermer. Le Iop était prix par ses pensées, passant en revu toutes les étapes de son plan, celles qui avait été accomplies, et celle qu’il lui restait à faire.
Car même si l’entrée en guerre des cités n’était qu’une question de temps, ce n’était là qu’un étape, un peu plus complexe que les autres, mais d’autant plus nécessaire à la touche finale de ses desseins, à son but ultime. En fait, il jubilait que son plan nécessite cette étape, quoi de plus jouissif que de voir les deux cités responsables de la mort de sa bien aimée s’entre déchirée dans une guère qu’il avait lui même mis en place. Car les cités ne se remettrait pas de cette guerre, il y veillerait personnellement.
L’étape suivante de son plan consistait à s’approprier les dofus, il avait besoin de leur puissance. Le dofus émeraude était en sa possession mais il lui manquait les 5 autres. Après des années de recherche, il avait réussi à localiser leur emplacement, et maintenant, il n’avait plus qu’à aller les chercher. Et il comptait justement s’en approprier un sous peu.
Peu à peu, une forme s’était dessinée à l’entrée de la grotte, et un xélor aux bandelettes sombres s’approchait progressivement de Juninho. Alors qu’il n’était qu’à quelques mètres, le Iop s’aperçut de la présence de son serviteur.
« Ah ! Tosh ! je commençait à m’impatientait.
- Veuillez m’excuser de mon retard maître, mais j’ai du passer par des chemins détournés, il m’a semblé être suivi.
- Et pourquoi aurait tu été suivi ? Personne ne se doute de rien, j’y ai personnellement fait attention. A moins que tu ne sois pas assez discret ?
- Maitre ! Je vous assure ! Je suis aussi furtif qu’un corbac la nuit, mais je le suis également de jour, je suis le meilleur espion, et je suis entièrement à votre service.
- Bon… et bien disons que tes immenses qualités te rendent un peu paranoïaque et que ce n’était qu’une impression.
- Bien maître… bien sur.
- Bon ! Où en sont les préparatifs ?
- Tout est prêts maitre, personne ne s’y attend, vous pourrez effectuer l’opération dès que vous le voudrez.
- Et bien j’irais demain, le plus tôt et toujours le mieux, seuls les incompétents font des erreurs en se précipitant. Tu peux disposer Tosh.
- Maitre… il y a autre chose.
- Quoi donc ? je commence à perdre patience Tosh…
- Il semblerait que nous ayons négligé de nous méfier du roi Allister.
- Insinuerais tu que j’ai fait une erreur ? Ce vieux sénile a eu droit a ce qu’il devait avoir, ce n’est pas un danger.
- Le problème, c’est qu’il y a du avoir une fuite dans nos rangs, il sait que vous vous cachez dans les montagnes, et ils les a envoyés vous chercher.
- Qui ça « ils » ?
- Vos anciens compagnons maître.
- Voyons Tosh, tu n’est pas en train de me dire que ce vieillard a reformer le groupe.
- Et bien… si maître.
- Bon… et bien je m’en occuperait. Finalement, je vais effectuer le vol maintenant. Livre moi le traitre qui a donné notre position a mon retour, où alors je pourrais bien passer mes nerfs sur tes bandelettes.
- Bien maître.
Et Juninho sortit de la salle, il avait un travail a accomplir, un œuf à voler.
Mais au delà de ça il était très mécontent.
Alors comme ça le roi d’Amakna avait reformé le groupe, et ils comptaient l’empêcher de mettre son plan au point ? Il ne le permettrai pas, et il s’occuperait personnellement de cela.

Mais la vérité, c’est que Juninho, ce Iop devenu fou, qui se faisait appelé le « Solstice Pourpre » avait peur. Il avait peur car seul ses anciens amis étaient capable de tout faire échouer.


Le lendemain matin le groupe fut réveillé en sursaut.
Tout le village d’Amakna était en ébullition suite à la nouvelle incroyable de la matinée.
On avait volé le dofus Ocre d’Ottomaï !
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MessageSujet: Re: Aventures d'aventuriers, livre II.   Aventures d'aventuriers, livre II. EmptyMer 22 Déc - 5:48

Chapitre 8 : Le vol du dofus Ocre



Amakna times, le 26 Javian :

Hier soir, au sommet de l’arbre Hakam, dans le laboratoire du célèbre chimiste Otomaï, un vol atroce a été commis.
Le dofus Ocre, possession du créateur de la faune de sa propre île, a été dérobé dans la nuit. Le dofus était gardé par Otomaï comme récompense, et de nombreux aventuriers s’était lancés dans une quête interminable pour l’obtenir, mais malheureusement, il se trouve des gens qui n’ont vraiment aucun scrupules.
La garde d’Amakna a déclaré dans un communiqué qu’il s’agissait surement d’un extrémiste connu sous le nom du Solstice Pourpre, néanmoins la garde n’a rien précisé sur lui. Une prime d’un million de kamas sera offerte par Otomaï à celui qui retrouvera le voleur de son dofus.


On avait donc volé le dofus Ocre, la nouvelle faisait la une de tous les journaux.
Notre groupe avait été convoqué par le roi suite à ce triste évènement.
Cette fois le roi n’était pas en retard, mais il était tout de même pressé, il se mit donc tout de suite à parler :
« D’après nos informations le vol du dofus ocre aurait été commi par le Solstice Pourpre, mais nous ne savons pas dans quel but il a fait cela. C’est pourquoi, votre nouvelle priorité est de trouver les dofus.
- Mais, nous ne connaissons pas leur localisation votre majesté.
- C’est pour cela que nous vous avons établi une carte avec la localisation de deux autres dofus, la position des dofus Ebène et ivoire nous étant toujours inconnu. Le dofus le plus facile d’accès est le dofus Turquoise, il est en la possession du Dragon Cochon. »

Suite à cela, la garde escorta notre groupe jusqu’au zaap le plus proche, où ils se rendirent à la plaine des scarafeuilles. Après un court voyage où ils longèrent la côte et allèrent au milieu de l’île des cochons de lait, là, ils pénétrèrent dans la caverne du dragon cochon.
Ils donnèrent la clé à un xélor, et s’enfoncèrent dans la caverne.

Ils se trouvaient maintenant dans le labyrinthe du Dragon Cochon.
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MessageSujet: Re: Aventures d'aventuriers, livre II.   Aventures d'aventuriers, livre II. EmptyMer 29 Déc - 4:09

Chapitre 9 : Le labyrinthe du Dragon Cochon.

Le xélor accompagna nos aventuriers jusqu’à une salle où se trouvait de nombreuses dalles formant un carré. Le silence régna dans la salle durant quelques minutes, puis, le xélor qui semblait s’amuser se mit à parler :
« Bon, ces dalles vous transportent dans des salles, l’antre du dragon cochon se trouve au milieu du labyrinthe. Chaque salles possèdent des grilles qui s’ouvrent et se ferment à chaque passage, trouvez le bon coté pou arriver au milieu. Dans chaque salle un de mes double vous attendra pour vous renvoyer ici en cas de besoin. Ne vous approchez pas trop des monstres du labyrinthe, ils sont agressifs. »
Sur ce, le gardien du donjon retourna à l’entrée.
Le groupe se retrouva seul, dans une salle obscure d’une grotte sombre, La décision fut prise de commencer par la dalle en face d’eux.
A peine sur la dalle, ils se retrouvaient téléportés dans une salle, le labyrinthe était un vaste souterrain fait de salles séparées par des grilles.
Pour l’instant, aucun monstre à l’horizon, nos aventuriers n’avaient qu’un seul choix possible, seul la grille de droite était ouverte. Ils se dirigèrent donc dan cette salle, un de coin de ce labyrinthe carré. Toujours aucun monstre, toujours un seul choix.
Alors qu’ils allaient changer de salle, Stryuka stoppa le groupe.
- Stop ! Vous entendez ?
Le groupe s’arrêta, mais tout le monde ne possédait pas des oreilles aussi fines que celles de la crâ.
- J’entend un bruit, des bruit de pas, des grognements, on dirait… une horde qui se rapproche.
- Mieux vaut ne pas trainer ici alors, dit Babyss, tout en se dirigeant vers l’autre salle.
Une fois dans la salle, toujours personne.
- J’n’aime pas ça, c’est trop calme. On devrait reste sur nos gar….
Star-Blade n’avait pas fini sa phrase, que Pommy, qui s’était avancée Venait de tomber dans un piège, venant de s’ouvrir sous ses pas. Babyss accourut et fut en face du trou mortel en premier. Pommy avait réussi à s’accrocher à une racine venant d’un arbre de la surface, et cela lui avait sauvé la vie car au fond du trou, on pouvait distinguer des pics aiguisés, ainsi que le squelette d’un Iop, le piège avait déjà servi.
L’Osamodas tendit sa main à sa bien aimée, mais Pommy se trouvait trop en profondeur pour être secourue.
- Tien bon, je vais t’envoyer mon fouet, tiens le bien pour que je puisse te remonter.
L’éniripsa saisit le fouet de Babyss, et il la fit remonter, aidé de ses amis.
Pas le temps pour une pause, Stryuka, entendait les bruits qui se rapprochaient, et les autres commençait aussi à les percevoir, le groupe pris la direction de la salle située à gauche.
Il traversèrent la salle, puis une autre, elle contenait deux cochons de lait qui montaient la garde, mais ils ne furent pas durs à vaincre. Ils continuèrent de courir, et se rendirent dans la salle à droite. Plus qu’une salle à traverser, en face, se trouvait l’entrée de l’antre du dragon cochon. La grille était ouverte, la fin du labyrinthe s’annonçait.
Mais est-ce que cela n’avait pas été trop facile.
Tout à coup, les grilles se fermèrent, et un rire étrange s’éleva. Un rire qui glaçait le sang de nos aventuriers, qui n’arrivait pas à voir d’où il venait.
Tout à coup, le double du xélor s’avança vers eux, c’était de lui que le rire venait.
Alors qu’ils avançait, l’image du xélor vacillait, s’effaçait, et laissé place à un énorme cochon, se tenant sur deux pattes, deux épées dans son dos.
- Pardonnez moi d’être aussi fourbe, mais j’aime voir l’effroi dans les yeux des visiteurs quand les grilles se ferme et quand l’illusion qui me camouflait disparaît, certains dise que je suis sadique, et alors, c’est mon droit. Notre seigneur n’aime pas être dérangé, c’est pourquoi, il m’a confié la garde du labyrinthe, pour que j’empêche les aventuriers d’accéder à son antre, et ceux qui m’échappent finissent souvent par mourir, tués dans le donjon. Mais vous, vous allez avoir droit à un traitement spécial, car c’est moi qui vais m’occuper de vous.
A peine avait-il finit sa phrase, que le garde du labyrinthe dégaina ses épées et se rua sur le groupe en poussant un hurlement effroyable qui laissa nos guerrier figés durant quelques secondes.
Babyss réagi en premier, et il invoqua son craqueleur au contact du cochon, même si le craqueleur était bien plus grand que lui, le guerrier cochon le disloqua en trois coups de ses immenses épées aiguisées
Néanmoins ce bref combat avait laissé le temps à nos aventuriers pour reprendre leurs esprits, chacun avait dégainé son arme, était prêt et le groupe était en formation de combat.
Au signal, juste avant que le monstre n’arrive au corps à corps, tous utilisèrent leur plus puissant sort.
L’attaque dévastatrice souleva un nuage de poussière, et le monstre succomba, tombant lourdement au sol. Avant de mourir, la bête poussa un long, une plainte que résonna partout dans le labyrinthe.
Peu après, le bruit d’innombrable cochon se ruant vers eux résonna, et il se rapprochait, nos aventuriers fuirent vers l’antre, ils donnèrent la clé au xélor qui ouvrit la grille.
Tandis que la grille se refermait, la horde arrivait, on aurait dit que tous les cochons de l’île étaient présents. Ceux-ci rugissaient, grognaient, tapaient le sol, ils étaient enragés, mais la solide grille les séparait de nos héros.
Pensant donc être hors de danger, ils tournère le dos, se dirigeant maintenant vers un nouveau péril.

Malheureusement, Sada reçu une flèche dans le dos.

Et il s’écroula à terre.


Au loin, un cochon de lait brandissait fièrement son arbalète.
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Sada-nunu

Sada-nunu


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MessageSujet: Re: Aventures d'aventuriers, livre II.   Aventures d'aventuriers, livre II. EmptyVen 24 Fév - 6:14

Attention, ce message est sponsorisé par l'Hécatombe Rhétorique des Pandas.


Je passe ici pour signaler un petit truc aux gens que ça intéresserait.

J'ai repris l'écriture de ce texte et je commence à le publier sur le forum JoL-dofus. Pour l'instant il n'est pas aussi avancé que pour ce forum mais le texte est corrigé, j'y ai rajouté les bonus de début de chapitre et il devrait rattraper l'avancement du texte présent sur ce forum d'ici quelques jours.

Vous trouverez donc les tomes I et II dans cette bibliothèque :

http://forums.jeuxonline.info/showthread.php?t=1167988
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